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 L'attaque des messagers orques

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Ranhar Ormond

Ranhar Ormond



Masculin Messages : 3

Fiche
Pièces d'or: 100
Inventaire:
Description du personnage:

L'attaque des messagers orques Empty
MessageSujet: L'attaque des messagers orques   L'attaque des messagers orques EmptySam 2 Fév - 3:09

Ranhar marcha vers la caserne, à l’extérieur de la Forteresse. Il était exténué par le voyage et le nombre de milles qu'il avait parcouru. Il rentra dans la caserne. De nombreux soldats étaient présents certains debout, d'autres assis en train de jouer aux dés ou aux cartes. Des groupes d'officiers conversaient. Il fût accueilli chaleureusement par ses frères d'armes. Il voulait le récit de son voyage.
- Excusez moi mes amis, mais je suis très fatigué et j'aimerais allez me reposer. Je me lève au premières lueurs de l'aube, demain.
Les soldats et officiers affichèrent des mines mi-déçues, mi-compréhensives. Ils finirent par le laisser aller dans la chambre commune.
Il se déshabilla, enfila une tunique de velours et se coucha. Il éteignit la bougie et s'endormit, vaincu par la fatigue. Ce fût une nuit sans rêve.
Le soleil filtrait par les rideaux. Les rayons de l'astre vinrent délicatement se poser sur le visage de l'homme qui dormait. Ranhar ouvrit lentement les yeux. Il repoussa la couverture et se leva.
Il remit son équipement, sa fidèle épée à sa ceinture et sortit de la chambre commune. Il traversa le mess en prenant sur la route deux miches de pain. Il sortit du bâtiment militaire et se dirigea vers les écuries.
Il trouva Sanarid déjà sellé. Il monta sur la bête en lui caressant l'encolure.
- J’espère que tu as bien dormi...
Il la mit au trot et commença à suivre les rues jusqu'à la porte Est. Quand il arriva à la porte d'Osgiliath, il vit une douzaine de cavaliers armés de lances et d'épées courtes l'attendre. Il les salua et demanda aux gardes d'ouvrir la porte. Ils sortirent de la ville lorsque le matin débutait. La ville s'éveillait.
Il mit alors Sanarid au galop et tout les autres cavalier le suivirent dans son geste. C'était la deuxième fois en deux jours qu'il passait par ici. Ils galopèrent longtemps vers Minas Tirith, la Cité Blanche. Minas Tirith était impressionnante : c'était une cité qui s'agrippait au mont Mindolluin. Elle était construite sur sept étages, chacun entouré de remparts de sorte que si la ville était attaquée, chaque étage donnerait autant de peine aux assaillants. La citée donnait un effet lumineux de loin. Comme son nom l'indiquait, chaque bâtiment était d'un blanc de neige. Au dernier étage se trouvait le palais royal.
Ils galopèrent pendant près de trois heures sans trouver le moindre signe d'une compagnie d'orques. Ce ne fût que lorsque le soleil fût à son zénith qu'il aperçurent une tache noire au loin qui se déplaçait vers l'Ouest. Ils redoublèrent alors l'allure. La tache se rapprochait alors de plus en plus vite.
- Pointez les lances ! Alignez vous ! cria Ranhar
Les cavaliers exécutèrent les ordres. Ils étaient maintenant à 30 pieds de leurs cibles.
Le choc est terrible. Quatre orques sont empalés par les lances des redoutables guerriers en poussant des cris stridents. Les autres orques essayent de donner des coups de leurs lames recourbées dans les pattes des chevaux. Le fracas des armes se fait entendre, des cris orques mais aussi humains se font entendre. Ranhar descendit de son cheval et dégaina son épée. Il courût alors vers la mêlée et abattit son arme sur le crane d'un orque. Celui-ci s'écroula. Il en transperça deux autres. Il vit un cavalier Gondorien se prendre une flèche noire d'orque dans le poitrail. Il courut vers un archer et abbatit son épée dans so épaule avan de lui replanté dans la gorge. Le combat fût sanglant et terrible.
Quand soudain, Le Capitaine eu l'impression que son crâne explosait, et il s'écroula à terre, sans connaissance.
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L'attaque des messagers orques

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